L'homme et le singe
Le mythe de l'évolution humaine ( harun yahya)
La tromperie la plus flagrante du darwinisme est l’affirmation que l’homme a évolué à partir de créatures ressemblant au singe. Cette affirmation a été imposée à la société par le biais de milliers de dessins et de modèles fictifs. Le fait est qu’il n’y a pas de preuve de l’existence de "l’homme-singe’". L’australopithèque, décrit comme le plus vieil ancêtre de l’homme, était en réalité une espèce éteinte de singes, qui n’étaient pas si différents des chimpanzés actuels. Les classifications telles que Homo erectus, que l’on place après l’australopithèque dans la lignée de l’évolution, l’homme de Neandertal et Homo sapiens archaïque, étaient toutes des races humaines.
Les créatures, appelées par les évolutionnistes australopithèques, ne sont en fait rien d'autre qu'une espèce de singe disparue.
Australopithèque signifie " singe du sud ". Appartenant à différentes catégories, toutes les espèces d'australopithèques sont des singes disparus qui ressemblent aux singes d'aujourd'hui. Leurs capacités crâniennes sont les mêmes, ou plus petites que les chimpanzés actuels. Il y a des parties saillantes dans leurs mains et pieds qu'ils utilisent pour grimper aux arbres, comme les chimpanzés d'aujourd'hui, et leurs pieds ont des habiletés simiesques pour s'agripper aux branches. Plusieurs caractéristiques comme la proximité des yeux, les molaires pointues, la structure mandibulaire, les longs bras, et les jambes courtes, sont des preuves que ces créatures ne sont pas différentes des singes actuels.
Les évolutionnistes affirment que bien que les australopithèques possèdent l'anatomie d'un singe, ils marchaient debout comme les humains.
Des recherches intensives faites sur différents spécimens d'australopithèque par deux anatomistes de renommée mondiale d'Angleterre et des U.S.A., Lord Solly Zuckerman et le Pr. Charles Oxnard, ont montré que ces créatures n'étaient pas bipèdes et avaient le même mouvement que les singes d'aujourd'hui. Ayant étudié les os de ces fossiles pendant 15 ans, avec un financement du Gouvernement britannique, Lord Zuckerman et son équipe composée de 5 spécialistes sont arrivés à la conclusion - bien que Zuckerman soit lui-même un évolutionniste - que les Australanthropiens étaient seulement une espèce ordinaire de singe et n'étaient absolument pas bipèdes (Solly Zuckerman, Beyond The Ivory Tower, New York: Toplinger Publications, 1970, pp. 75-94) .De même, Oxnard, lui aussi un évolutionniste, a lié la structure squelettique de l'australopithèque à celle des orangs-outans modernes.(Charles E. Oxnard, "The Place of Australopithecines in Human Evolution: Grounds for Doubt", Nature, vol. 258, p. 389)
Les
analyses détaillées dirigées par
l'anthropologue américain Holly Smith en 1994 sur les dents
d'un australopithèque ont indiqué que
l'australopithèque était une espèce de
singe.
(Holly
Smith, American Journal of Physical Anthropology, vol. 94, 1994, pp.
307-325)
Durant la même année, Fred Spoor, Bernard Wood et Frans Zonneveld, tous des spécialistes en anatomie, sont arrivés à la même conclusion par une méthode complètement différente. Cette méthode était basée sur l'analyse comparative des canaux semi-circulaires de l'oreille interne des humains et des singes qui subvient au soutien de l'équilibre. Les canaux de l'oreille interne de tous les spécimens d'australopithèques analysés par Spoor, Wood et Zonneveld étaient les mêmes que ceux des singes modernes. (Fred Spoor, Bernard Wood, Frans Zonneveld, "Implication of Early Hominid Labryntine Morphology for Evolution of Human Bipedal Locomotion", Nature, vol. 369, 23 juin 1994, pp. 645-648) Cette découverte a montré encore une fois que l'espèce d'australopithèque est une espèce similaire aux singes modernes.
Présenté par les évolutionnistes comme " l'homme primitif ", l'Homo erectus est en fait une race humaine disparue. Les différences entre l'Homo erectus et nous-mêmes ne sont que des différences raciales.
Dans le schéma d'évolution de l'homme imaginé par les évolutionnistes, les fossiles classifiés comme Homo erectus arrivent après l'espèce australopithèque. [La classification " Homo abilis ", qui était proposée par certains évolutionnistes, a été incluse dans l'espèce australopithèque ces dernières années.]
Comme
le sous-entend le mot " erect " (debout), " Homo erectus " signifie "
homme marchant debout ". Les évolutionnistes ont eu
à séparer ces hommes des
précédents en ajoutant la qualité de "
posture droite ", parce que tous les fossiles disponibles d'Homo
erectus sont droits à un degré non
observé chez n'importe quel spécimen
d'australopithèque ou Homo abilis. Il n'y a pas de
différence entre le squelette de l'homme moderne et celui
d'un Homo erectus. Une bonne indication qui nous permet
d'établir cette similitude est le fossile du " Turkana Boy "
qui est inclus dans la classe d'Homo erectus. Il est
confirmé que le fossile était celui d'un enfant
de 12 ans, qui aurait eu 1,83m de taille dans son adolescence. La
structure squelettique droite du fossile n'est pas
différente de celle d'un homme moderne, point sur lequel le
paléontologue américain Alan Walker disait qu'il
doutait que " le pathologiste moyen pourrait dire la
différence entre le fossile de squelette et celui d'un
humain moderne ".Boyce
Rensberger, The Washington Post, 19 novembre 1984
La raison première pour les évolutionnistes pour définir l'Homo erectus de " primitif " est sa capacité crânienne (900-1100 cm3), qui est inférieure à celle de l'homme moderne moyen, et ses larges sourcils saillants. Cependant, il y a plusieurs personnes vivant aujourd'hui dans le monde qui ont la même capacité crânienne que l'Homo erectus (les Pygmées par exemple) et il y a d'autres races qui ont des sourcils proéminents (comme les Aborigènes d'Australie).
C'est
une réalité communément
acceptée que les différences dans les
capacités crâniennes ne dénotent pas
nécessairement des différences dans
l'intelligence ou les habiletés. L'intelligence
dépend plutôt de l'organisation interne du cerveau
que de son volume.(Marvin
Lubenow, Bones of Contention, Grand Rapids, Baker, 1992, p. 83)
Même l'évolutionniste Richard Leakey déclare que les différences entre l'Homo erectus et l'homme moderne ne sont pas plus que des variations raciales :
L'on verrait également des différences dans la forme du crâne, dans le degré de poussée en avant du visage, la robustesse du front, etc. Ces différences ne sont probablement pas plus prononcées que ce qu'on voit aujourd'hui entre les races géographiquement séparées des humains modernes. (Richard Leackey, The Making of Mankind, Londres: Sphere Books, 1981, p. 62)
Bref, les êtres humains que les évolutionnistes classifient comme Homo erectus, sont une race humaine disparue dont le degré d'intelligence n'est pas différent du nôtre. Il y a, cependant, un énorme écart entre l'Homo erectus, une race humaine, et les singes qui l'ont précédée dans le scénario de " l'évolution humaine " (australopithèque ou Homo abilis). Ce qui veut dire que les premiers hommes apparurent sur le registre fossile subitement et immédiatement sans aucune histoire évolutive. Il ne peut y avoir une indication plus claire du fait qu'ils ont été créés.
Il a été définitivement vérifié aujourd'hui que l'homme de Neandertal, qui est présenté comme " l'ancêtre primitif de l'homme " par les évolutionnistes, est simplement une race humaine disparue.
Les Néandertaliens sont une race humaine et ce fait est aujourd'hui admis par la plupart des gens. Les évolutionnistes ont essayé tant bien que mal de les présenter comme une " espèce primitive ", mais toutes les découvertes indiquent qu'ils n'étaient pas plus différents qu'un homme " robuste " marchant dans la rue aujourd'hui. Une importante autorité sur ce sujet, Erik Trinkaus, un paléontologue de l'Université du Nouveau-Mexique écrit :
Des comparaisons détaillées de restes squelettiques du Neandertal avec ceux des humains modernes ont montré qu'il n'y a rien dans l'anatomie du Neandertal qui indique de façon concluante des habiletés locomotrices, manipulatrices, intellectuelles ou linguistiques inférieures à celles des humains modernes. (Erik Trinkaus, "Hard Times Among the Neanderthals", Nature History, vol. 87, décembre 1978, p. 10 ; R. L. Holloway, "The Neanderthal Brain: What Was Primitive", American Journal of Physical Anthropology Supplement, vol. 12, 1991, p. 94)
En outre, les recherches anatomiques menées ces dernières années établissent que l'évolution graduelle de la marche du singe à celle de l'homme est impossible. Crompton a montré qu'une créature vivante peut soit marcher debout, soit sur quatre pattes. Un type de déplacement entre les deux serait vraiment inefficace.Ruth Henke, "Aufrecht aus den Baumen", Focus, vol. 39, 1996, p. 178
L'immense écart entre l'homme et le singe n'est pas uniquement limité à la bipédie. Plusieurs autres questions restent encore inexpliquées comme la capacité du cerveau, la faculté de parler etc. Elaine Morgan, une paléontologue évolutionniste, avoue ce qui suit en rapport avec la question :

Bref, " l'évolution de l'homme " n'est rien d'autre qu'une légende non prouvée. Dieu créa l'homme déjà pourvu de toutes les habiletés et caractéristiques qu'il possède.
Le scénario de " l'évolution humaine " est une fiction totale. Afin qu'un tel arbre généalogique existe, une évolution graduelle du singe à l'homme aurait dû avoir lieu et le registre fossile de ce processus aurait dû être trouvé. Cependant, il y a un énorme écart entre les singes et les humains. Les structures squelettiques, les capacités crâniennes ainsi que d'autres critères comme la marche debout ou courbée fortement vers l'avant représentent ce qui distingue les humains des singes.
Une autre découverte signifiante prouvant qu'il ne peut y avoir un arbre généalogique parmi ces différentes espèces réside dans le fait que ces espèces qui sont présentées comme les ancêtres des unes et des autres ont vécu simultanément. Si, comme l'affirment les évolutionnistes, les australanthropiens s'étaient convertis en Homo abilis et s'ils s'étaient, en retour, convertis en Homo erectus, les époques dans lesquelles ils vécurent se seraient nécessairement suivies les unes les autres. Toutefois, il n'y a pas un ordre chronologique pareil.
Le paléontologue évolutionniste Alan Walker confirme ce fait en déclarant qu' " il y a une preuve en Afrique de l'Est en évoquant de petits individus australopithèques derniers survivants qui étaient d'abord contemporains avec l'Homo abilis, puis avec l'Homo erectus. (Alan, Walker, Science, vol. 207, 1980, p. 1103)Louis Leakey a trouvé des fossiles d'australopithèques, d'Homo abilis, et d'Homo erectus presque côte à côte dans la région d'Olduvai Gorge, couche Bed II. (A. J. Kelso, Physical Anthropology, 1st ed., New York: J. B. Lipincott Co., 1970, p. 221 ; M. D. Leackey, Olduvai Gorge, vol. 3, Cambridge: Cambridge University Press, 1971, p. 272)
Qu'est-il devenu de notre échelle s'il y a trois généalogies coexistantes d'hominidés (A. africanus, l'australanthropien robuste et l'Homo abilis), et qu'aucune ne dérive clairement de l'autre ? De plus, aucune des trois n'affiche une quelconque tendance évolutive durant leur temps sur Terre. (S J Gould, Natural History, vol. 85, 1976, p. 30)
Lorsque nous passons de l'Homo erectus à l'Homo sapiens, nous voyons encore une fois qu'il n'y a pas d'arbre généalogique pour en parler. Il y a des preuves qui montrent que l'Homo erectus et l'Homo sapiens archaïque continuaient de vivre jusqu'à 27.000 ans et même 10.000 avant notre ère. Dans le Kow swamp en Australie, des crânes d'Homo erectus de quelque 13.000 ans ont été trouvés. Sur l'Ile de Java, un crâne d'Homo erectus fut trouvé, âgé de 27.000 ans.(Time, 23 décembre 1996)
Ces découvertes indiquent que les créatures présentées par la théorie de l'évolution comme les " ancêtres de l'homme " sont plutôt des espèces éteintes qui n'ont rien à voir les unes avec les autres, ou des races humaines perdues.