Refutation des mécanismes d'évolution imaginés par les darwinistes
( harun yahya)
Les mutations
Réalisant que la sélection naturelle n'a aucune fonction évolutive, les évolutionnistes ont introduit le concept de " mutation " à leur affirmation au 20ème siècle. Les mutations sont des distorsions ayant lieu dans les gènes des organismes à travers des effets externes comme la radiation. Les évolutionnistes affirment que ces accidents font évoluer les organismes. Les résultats scientifiques, cependant, rejettent cette affirmation parce que toutes les mutations observables ne font que du mal aux créatures vivantes. Toutes les mutations qui se produisent chez les humains entraînent des déformations mentales ou physiques comme le mongolisme (le syndrome de Down), l'albinisme, le nanisme, ou des maladies comme le cancer.
Une autre raison qui conforte l'opinion selon laquelle il est impossible pour les mutations de faire évoluer les créatures vivantes est que ces accidents n'ajoutent aucune nouvelle information génétique à un organisme. Les mutations font subir aux informations génétiques existantes un remaniement aléatoire comme un jeu de cartes. Autrement dit, aucune nouvelle information génétique n'est introduite par les mutations.
Toutefois, la théorie évolutive affirme que les informations génétiques des créatures vivantes augmentent avec le temps. Par exemple, tandis qu'une bactérie structurée de manière non complexe comprend 2.000 différents types de protéines, un organisme humain possède 100.000 types de protéines. Exactement 98.000 nouvelles protéines doivent être découvertes pour qu'une bactérie évolue en être humain. Il n'y a aucun moyen possible pour ces structures de protéines d'être produites par les mutations, parce que les mutations ne peuvent rien ajouter à la chaîne de l'ADN. Pas surprenant que, jusque-là, pas même une seule mutation n'ait été observée pour développer l'information génétique d'une forme de vie. Malgré qu'il soit lui-même un évolutionniste, l'ancien président de l'Académie Française des Sciences, Pierre-Paul Grassé, a admis ce qui suit :
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