Les espèces vivantes réfutent l évolution
( harun yahya)
Une telle créature n'existe donc pas dans le registre fossile. L'éminent paléontologue évolutionniste, Lewis L. Caroll, admet ce fait dans son article intitulé "Le problème de l'origine des reptiles " :
Malheureusement, pas un seul spécimen d'un ancêtre reptilien approprié n'est connu avant l'apparition des vrais reptiles. L'absence de pareilles formes ancestrales laisse sans réponse plusieurs problèmes de transition amphibienne-reptilienne. Lewis L. Caroll, "Problems of the Origin of Reptiles" Biological Reveiws of the Cambridge Philosophical Society, vol. 44, p. 393
De plus, il y a également des limites insurmontables entre les espèces de reptiles, comme les serpents, les dinosaures ou les lézards. Toutes ces espèces distinctes sont apparues subitement et distinctement sur Terre, parce que Dieu les a créées ainsi. Cette vérité est citée comme suit dans le Coran :
Dieu a créé à partir de l'eau tous les êtres vivants. Il en est parmi eux qui rampent sur le ventre, pendant que d'autres se déplacent sur deux ou quatre jambes. Dieu crée ce qu'Il veut, car Sa puissance n'a point de limite. (Sourate An-Nour: 45)
LA DIFFERENCE DANS LES ŒUFS
Une des contradictions du scénario évolutionniste amphibiens-reptiles est la structure des œufs. Les œufs des amphibiens, qui se développent dans l’eau, ont une structure semblable à une gelée et une membrane perméable. Toutefois, les œufs des reptiles ont une structure solide et imperméable adaptée à leurs conditions terrestres, comme nous le voyons ici dans la reconstitution d’œuf de dinosaure. Afin qu’un amphibien devienne un reptile, ses œufs doivent se transformer en œufs de reptiles. Mais c’est impossible.LES TORTUES SONT TOUJOURS LES MEMES
Il n’y a pas de différence entre les anciens fossiles de reptiles et leurs équivalents actuels. La tortue de mer de 100 millions d’années à gauche est exactement la même que son équivalent moderne.
Une autre différence importante entre les reptiles et les oiseaux est leur structure métabolique. Tandis que les reptiles ont la plus lente vitesse métabolique dans le monde des créatures vivantes, les oiseaux tiennent le plus grand record dans ce domaine. Par exemple, la chaleur corporelle d'un moineau domestique peut s'élever jusqu'à 48°C à cause de son métabolisme rapide. D'un autre côté, les reptiles ne sont même pas capables de produire leur propre chaleur corporelle et se réchauffent alors sous le soleil. Les reptiles sont les animaux qui consomment le moins d'énergie dans la nature, alors que les oiseaux sont ceux qui en consomment le plus.
Le système respiratoire des oiseaux diffère aussi grandement de celui des reptiles. Ces derniers ainsi que les mammifères prennent l'air dans leurs poumons par leur trachée puis le ressortent par le même tuyau. Chez les oiseaux, l'air effectue un seul trajet par les canaux des poumons ; il entre d'un côté et sort de l'autre. Grâce à ce système respiratoire qui n'existe chez aucune autre classe vivante, les oiseaux ont une utilisation efficace de l'air. Ce système leur permet de voler même à une altitude de 8.000 mètres, là où l'oxygène est très rare.
Une autre caractéristique qui élève une barrière insurmontable entre les oiseaux et les reptiles est les plumes qui sont une structure spécifique aux oiseaux. Ainsi, les corps des reptiles sont recouverts d'écailles, alors que ceux des oiseaux sont recouverts de plumes.
Bref, de nombreuses différences entre ces deux espèces d'animaux réfutent définitivement l'affirmation des évolutionnistes qui pensent, rappelons-le, que les reptiles ont évolué graduellement en oiseaux.
Alan Feduccia, un professeur de l'Université de Caroline du Nord, s'oppose fermement à la théorie qui énonce que les oiseaux ont une parenté avec les dinosaures sur la base de découvertes scientifiques, malgré le fait qu'il soit lui-même un évolutionniste :
Eh bien, j'ai étudié des crânes d'oiseaux pendant 25 ans et je ne vois aucune similarité. Je ne la vois pas du tout… Que les theropodes (un groupe majeur de dinosaures) viennent des oiseaux, serait à mon avis le plus grand embarras de la paléontologie du 20ème siècle. (Pat Shipman, "Birds do it… Did Dinosaurs?", New Scientist, 1 février 1997, p. 28)
Un professeur de physiologie et de neurobiologie de l'Université de Connecticut, A.H. Brush, accepte cette réalité, bien qu'il soit un évolutionniste :
Chaque caractéristique depuis la structure et organisation de gène, jusqu'au développement morphologique et l'organisation des tissus est différente (dans les plumes et les écailles). (A. H. Brush, " On the Origin of Feathers ", Journal of Evolutionary Biology, vol. 9, 1996, p. 132)
De plus, le Pr. Brush observe la structure de la protéine des plumes d'oiseaux et souligne qu'elle est " unique parmi les vertébrés ". (A. H. Brush, " On the Origin of Feathers ", p. 131)
L'histoire du " fossile du dinosaure plumé " découvert en Chine, survenue en 1996 en plein milieu de propagandes médiatiques, était totalement infondée, et il fut admis en 1997 que le fossile du Sinosauroptéryx en question ne possédait aucune structure ressemblant aux plumes. ("Plucking the Feathered Dinosaur", Science, vol. 278, 14 novembre 1997, p. 1229)
Lorsque nous observons de près la structure des plumes, nous rencontrons une conception très complexe qui ne peut être expliquée par un processus évolutif. Le célèbre ornithologue Alan Feduccia déclare que " chacune de leurs caractéristiques a des fonctions aérodynamiques. Elles sont extrêmement légères, ont l'habileté de s'élever qui augmente progressivement, et peuvent retourner à leur position précédente très facilement ". Puis il continue en concluant :
Je ne peux vraiment pas comprendre comment un organe parfaitement conçu pour voler puisse au début avoir émergé pour un autre besoin. (Douglas Palmer, "Learning to Fly", (Review of The Origin of and Evolution of Birds by Alan Feduccia, Yale University Press, 1996), New Scientist, vol. 153, 1 mars 1997, p. 44)
La conception des plumes obligea aussi Charles Darwin à s'y pencher. Ainsi, la parfaite esthétique des plumes du paon l'a rendu " malade ", selon son propre terme. Dans une lettre qu'il écrivit à Asa Gray le 3 avril 1860, il dit : " Je me rappelle bien du temps où la pensée de l'œil me donnait froid partout, mais j'ai surmonté cette étape du problème… " Puis, il continua : " … maintenant, des détails insignifiants de structure me rendent parfois perplexe. La vue d'une plume sur la queue d'un paon, dès que je la regarde, me rend malade ! " (Norman Macbeth, Darwin Retried: An Appeal to Reason, Boston: Gambit, 1971, p. 101)
Contrairement aux affirmations évolutionnistes, les mammifères survinrent sur Terre soudainement sans aucun prédécesseur. De plus, les évolutionnistes n'ont pas d'explication pour déterminer l'origine des différents groupes de mammifères.
Comme observée jusque-là, la théorie de l'évolution suggère que quelques créatures imaginaires, qui sont sorties de la mer, se sont transformées en reptiles et que les oiseaux se sont formés par l'évolution comme ce fut le cas pour les reptiles.
Selon le même scénario, les reptiles sont les ancêtres, pas seulement des oiseaux, mais aussi des mammifères.
Cependant, il y a de grands écarts structurels entre les reptiles, qui ont des écailles sur leurs corps, qui sont de sang froid, et qui se reproduisent en pondant des œufs ; et les mammifères qui ont de la fourrure sur leurs corps, qui sont à sang chaud, et qui se reproduisent en donnant naissance à une progéniture vivante.
Un exemple simple pour mieux appréhender les barrières structurelles entre les reptiles et les mammifères est la structure de leur mâchoire. Les mâchoires inférieures des mammifères ne se constituent que d'un seul os mandibulaire et les dents sont placées sur cet os. Chez les reptiles, toutefois, il y a trois petits os des deux côtés de la mâchoire inférieure.
George Gaylord Simpson, l'une des plus grandes autorités évolutionnistes du 20ème siècle commente ce sujet de la manière suivante, ce qui est vraiment troublant pour les évolutionnistes :
L'événement le plus curieux dans l'histoire de la vie sur Terre est le changement du Mésozoïque, l'Age des Reptiles, jusqu'à l'Age des Mammifères. C'est comme si le rideau était soudainement baissé sur la scène où tous les premiers rôles étaient pris par les reptiles, spécialement les dinosaures, en grand nombre et en variétés déroutantes, et qu'il s'était levé immédiatement pour révéler le même emplacement, mais une distribution entièrement nouvelle, dans laquelle les dinosaures n'apparaissent pas du tout, d'autres reptiles étant en surnombre, et tous les premiers rôles sont joués par des mammifères auxquels on a fait à peine allusion dans les actes précédents. (George Gaylord Simpson, Life Before Man, New York: Time-Life Books, 1972, p. 42)
Tout ceci démontre que les mammifères ont également apparu sur Terre subitement et entièrement formés, sans aucun ancêtre. C'est une preuve concrète en faveur de la création divine.